Journée au village et rencontre fracassante (PV Beladrion)

Allyson qui était en vacances avait décidée d'allée faire un tour au village de Pré au Lard, pour acheter des bonbons et des chocolats. Mais, la jeune femme n'était pas la que pour ça. Car, elle avait eu envie de passée la journée ici au calme avant le retour au château. L'étudiante portait un pantalon noir, un dos nu rouge et une veste de couleur noir par dessus. Elle avait laissée ses cheveux libres et regardait en souriant tout autour d'elle. Ce n'est pas tout, Ally portait autour du cou un collier en or avec un médaillon en forme de phénix en or et ses yeux était de couleur vert comme des émeraudes. La jeune sorcière arriva au centre de la place et il n'y avait personne. Normal, vu l'heure qui était. Il était encore tôt. Elle tourna sur elle même en rigolant un peu. Puis, la jeune sorcière alla faire un tour en dehors du village et reviendrais plus tard. La gryffondor retourna dans le village, deux heures plus tard et vit qu'il avait un monde maintenant. Elle se fraya un chemin entre tout les passants, quand quelqu'un la bouscula.

-Vous ne......

Elle ne finissa pas sa phrase. Car, Allyson venait de reconnaître le Ministre de la Magie qui était devant elle.

-Monsieur le Ministre

*Oups j'ai faillie lui dire mes quatres véritées. Heureusement pour moi, je l'ai reconnue avant de finir ma phase*

Le Ministre avait finit sa journée . Sa journée ? Voyons ,une journée de Ministre . Levé a 7h00 du matin , il avait prit son petit dejeunner dans son bureau au ministère, car c'était la qu'il c'était reveiller, et au final qu'il c'était endormit . Il avait ensuite commencer a sortir les dossiers qu'il devait remplir dans la journée , mais en fait qu'il mettrait une semaine a remplir car il ne s'en sentait jamais le courage . Il avait trop de chose a faire , et même avec l'aide de la magie, et des services du ministère il était débordé. Il avait aussi conscience qu'il devait prendre rendez vous avec le Premier Ministre Anglais moldu pour une bonne petite conversation ... Qu'il aurait déjà du faire il y a plus de trois mois, mais dont il n'avait jamais eu le courage.
Dans la suite de sa matinée, il avait eu une incartade avec sa secrétaire, qu'il avait finit par faire taire d'un coup de baguette .Cette secretaire était exaspérante, et souvent elle prennait a malin plaisir a lui rappeller ce qu'il devait faire , au vu des charges qui lui était attribuer : Non pas qu' elle le prennait pour un incapable, mais qu'en bonne secretaire elle voulez le pousser a donner le meilleur de lui même . Il avait ensuite passé le reste de la matinée a plancher sur son travail a Poudlard, et pour la rentrée scolaire, a faire un recenssement des élèves, comme l'avait fait Herrax . Non pas qu'il n'avait pas confiance en lui, mais cela était tellement important qu'une double vérification semblait presque necessaire . Enfin , pour la matinée, sa faisait déjà un programme chargé .
Le midi avait été un peu plus cool, il l'avait passé avec l'envoyé du "Ministerio Dei Magico Etegiogicho" Italien pour parler des leurs relations internnational . Il avait mangé au restaurant le plus hupé de Londres, tout en se protégeant de deux trois coups de baguettes des oreilles , caméra et appareil photos indescretes . Magique ou non d'ailleurs . Les pour-parler avait étè franc-du-collier, mais au final il avait l'impréssion d'avoir tourner autour du pot quand a la délégation de soutien que devait envoyé l'Italie pour établir l'Ordre a York ... Mais en revanche , Beladrion avait retenu son avis quand au fond de soutien qu'il allait envoyer a l'Italie, faisant comprendre que l'un venait avec l'autres ... Une pied d'égalité necessaire a une bonne diplomatie .
Pour son après midi , cela avait étè plutôt ennuyant . Il avait passé 5h00 a relire les dossiers sur la justice magique pour donner son avis sur les séances peu importante, aucquel il n'assisterait pas , car il était overbooké depuis qu'il avait prit son poste . C'était un moment ennuyant, bien qu'il eu l'aide d'Hermione Granger, chef du departement de la justice magique . Il aimait beaucoup Hermione qui était une sorcière remarquable, qu'il n'aurait pas voulu avoir dans le camps de ses ennemis !
Il décida ensuite qu'une pause s'imposé . Il partit donc a Près-Au-Lard, puisqu'il n'y était pas retourner depuis quelques mois et qu'il devait prendre la tention avant la rentrée ... Il devait aussi commencé a prendre des repéres pour donné quelques consigne au chef des Aurors qui supervisé la sortie des élèves de Poudlard a Près-Au-Lard. C'était un moment difficille ... Il passa donc dans la rue, sans faire attention au gens . Il marchait plutôt vite, notant dans sa tête les petites choses nouvelles ... Il passa a côté de quelqu'un un peu trop vite, un peu trop près ... Et soudain il lui rentra dedans . Il se retourna gêné vers la jeune fille . Elle semblait d'abord prendre un air indigné , et deux mots lui échapperent :

"Vous ne..."

Beladrion voulu se caché derrière sa cape . Mais la jeune fille le reconnu , et soudain elle semblait encore plus gêné que lui . Elle devint a moitié rouge , et elle lui dit d'une voix moins assuré :
"Monsieur le Ministre".

Il lui sourit doucement , puis il lui dit d'une voix rassurante, afin qu'elle ne soit pas gêné vis a vis de lui:

"Bonjour, Mademoiselle... Je suis désolé de vous avoir bousculer , c'est de ma faute, je ne regardais pas bien devant moi . J'été absorbé par ... ahem ... mon travail , dites moi..."

Il coupa sa phrase , et soudain sembla tomba sous les entrailles de la terre. Il reconnu la marque de naissance qu'il avait laissé sur sa fille la seule fois ou il l'avait vu , le jour de sa naissance . Dans son cou . Visible ... Il n'en revena pas , et soudain s'arrêta de parler, commencant a devenir a moitié blanc .

La jeune femme était rouge d'embarras et essayait de se calmée. Allyson respirait calmement et doucement. Elle n'en revenait toujours pas d'être tombée sur le ministre en personne et se posait pas mal de question, comme par exemple qu'est ce qui faisait au village de Pré au lard et à cette heure-ci de la journée. Quand la jeune sorcière le vit lui sourire doucement, elle en fit autant. La griffondor l'écouta tranquillement et s'en l'interrompre à aucun moment. Elle comprennait parfaitement qu'il était absorbé par son travail et qui ne l'avait pas vu. La jeune femme ne lui en voulait absolument pas du tout.

-Ce n'est pas votre faute monsieur. C'est normal de ne pas trop regardé devant soi qu'en on pense au travail ou à autre chose.

La jeune sorcière remarqua que le ministre de la magie n'avait pas fini sa phrase. Elle le regarda dans les yeux en se demandant bien pourquoi. Puis, elle le vit palir tout d'un coup en fixant quelque chose sur elle. Allyson se demandait ce qu'elle avait sur elle, pour avoir déclenchée cette réaction.

*J'ai l'impression qui a vu un fantôme. Mais non, je dois rêver*

-Monsieur, vous allez bien ? Vous êtes malade ?

Elle ne savait pas pourquoi, mais elle s'inquiétait pour lui. Au bout de quelques temps, la jeune sorcière vit qui ne réagissait toujours pas et passa sa main devant ses yeux plusieurs fois.

-Monsieur, vous m'entender ?

*Aucune réaction*

Allyson continuait de passer sa main devant ses yeux. Elle jettait des coup d'oeil tout autour d'elle pour voir si les personnes les regardaient. mais, tout le monde étaient occuppés avec leurs courses et ne faisaient pas attention à eux. Puis, elle reporta son attention sur le ministre.

Beladrion ne pouvait pas en croire ses yeux . Ce n'était pas possible . Il y a bientôt 17 ans , a la fin de ses études au ministère, Beladrion avait eu une femme qu'il avait aimé eperdument . Cette femme lui avait fait une fille qui était le fruit de leur amour . Le jour de leur naissance, il avait laissé a l'aide de sa baguette , juste au dessus de ses seins, sur le sternum , une tache blanche qui formé un lion , quand on la regardait d'une certainne façon . Cette marque, seul sa fille pouvait l'avoir . Quelques jours après la naissance de sa fille, sa femme était décédé dans ses conditions inexpliqué , a l'hopital . Il avait alors sombré dans une dépréssion qui l'avait plombé pendant près d'un an . Car , ce jour la ou lui avait retiré sa fille , sa fille a lui qui étè le plus beau souvenir qu'il aurait pu avoir de cette femme ... Sa première femme .
Le temps avait passé, et malgrè toutes ses tentatives, il n'avait jamais réussit a retrouver sa fille . Elle semblait tout simplement avoir disparut dans la nature . Cette fille qu'il avait aimé et vu grandir dans ses rêves , et qu' il avait pleuré et vu partir dans le monde matériel ... Après son accession au ministère, il avait cherché partout un Allyson Kheldar dans les fichiers du ministère ... Une fille qui serait née le même jour que sa fille, et aucune n'avait étè trouvé . Il remercia le ciel que sa fille, se jour la et osé mettre un petit décoletté : En effet même si l'hiver frappé de plein fouet, sans cela il ne l'aurait jamais retrouvé . Ses pensées se mélanger dans sa tête a une vitesse folle . Il ne pouvait plus revenir a la réalitée .
D'ailleurs, il avait trop rêvé de cette rencontre pour persuadé son esprit que cette fois elle était réel . Allyson . Il avait plongé dans un autres monde, ou des voix pleine de pureté se mélanger dans sa tête, et bientôt il se sentit plus heureux que les 17 années précédente n'avait pu le permettre . Il sembla s'eveiller subitement au monde qui l'entourrait . Sa fille agitait la main devant les yeux de son père, et son père la regardait, passé, devant ses yeux . Cette main était celle qu'il avait crée par l'amour ... Cette main qui avait fuit pendant près de 17 ans . Il reprit soudain conscience . Il avait les larmes a yeux , et la lumière semblait éblouissante autour de lui . Il peina a revenir a la réalitée , et soudain il dit :

"Tu ... Allyson."

Il ne finit pas sa phrase , car l'émotion le coupa . Il espérait qu'elle pu comprendre .... Il avait attendu pendant tellement de temps, elle devait comprendre, car il n'avait plus la force et il ne trouverait jamais les mots pour exprimer son bonheur et ce qu'il ressentit a ce moment . Tout ce qu'il ressentit était au dessus de ce que les mots peuvent décrire ... C'été la plénitude .

Allyson passa sa main devant les yeux du ministre de la magie pendant plusieurs minutes, avant d'avoir une réaction de celui-ci. La jeune femme se doutait qu'il avait sans doute pas entendue ce qu'elle avait dit quelques minutes avant. Mais une chose était sur, la jeune griffondor ne s'attendait pas à ce genre de réaction de sa part. Pleins de questions se bousculaient dans sa tête, comme par exemple pourquoi il était sous le choc en la regardant et qu'il s'était figer pendant un certains temps. On avait l'impression qui était devenu une statue, tellement qui ne bougeait pas. La jeune sorcière chassa vite ses pensées et reporta son attention sur le ministre de la magie. Elle le vit qu'il allait lui dire quelque chose, avant de l'appelée par son prénom. La jeune femme le regarda un peu surprise et avec les yeux écarquillés. Elle se demandait si la connaissais pour l'appelée par son prénom.

-Euh oui, je m'appelle bien Allyson

La jeune femme fit une pause et avait toujours du mal à comprendre. Elle se décida de reprendre la parole et de poser la question qui lui trottait dans la tête depuis qui l'avait appelée par son prénom.

-Vous me connaissez monsieur ?

Elle refit une légère pause

-A ma connaissance on ne s'est jamais vu auparavant

Allyson ne savait pas que sa famille n'était pas la sienne et que le ministre qui était en face d'elle, était son vrai père. La pauvre ne comprenait pas trop ce qui se passait et se posait un tas de questions

*Je ne l'ai jamais vu à la maison, ni à l'entreprise de papa. Est ce que c'est un de ses amis. Je crois pas, sinon il me l'aurais dit*

Beladrion était dans une sorte d'état second . C'était comme dans une rêve qui devait se réaliser depuis des années, mais qui avait attendu pendant tout ce temps , pour se réaliser dans les conditions les plus inimaginable ... C'était ce rêve que l'ont rêve de faire ... Celui qui fait que même en eveil, nous sommes soumit a ce rêve, celui qui fait que l'ont dort debout, et que les lymbes, que morphées nous attrape . Tandis qu'il commencait a peine a emerger d'une ondée bleu , pleine de rêve, une phrase qu'il avait entendu il y a quelques jours dans un meeting lui revient en tête . "Dieu nous rêves, si il s'éveille, nous disparaissons a jamais." .Il n'avait jamais cru en Dieu, mais il semblait bien bête de ne pas pensé que ce qui se passait devant lui était un miracle . C'était comme un nouveau miracle de la vie pour le Ministre de la Magie d'Angleterre . Un premier miracle, qui avait eu lieu 17 ans plus tôt ... Et un autres miracle qui avait lieu dans l'instant présent, et qu'on ne pouvait oublier, que tout ancré dans une réalité maintenant bien trop réel pour être un rêve . Il fallait être capable de comprendre la beauté du moment pour en comprendre l'intensité . Comment décrire un tel moment, ne serais-ce qu'une seconde ? Imaginez, un homme ayant perdu sa femme et son enfant,un homme qui pendant des années a cherché cette enfant, cette enfant disparu symbole de son amour pour sa femme . Et un jour comme ça , sans prévenir, qui vous tombe sur le coin de la tête . Non , c'est bien pire, sa vous tombe comme le monde sur le coin de l'arcade, et vous devez vous relevez , et fixer cette terre qui vous fixe avec des yeux extatique ...

L'intensité du moment , vous allez devoir la comprendre,car je vais tenter de vous la décrire . Les yeux . Voila l'instrument du ressentis premier . Les yeux capte l'image, et la transmette au cerveau sans vous prevenir . Vous vous retrouvez soudainement avec cette impréssion désagréable qu'il se passe quelque chose de térriblement important mais que vous ne pouvez pas toucher cette instant du bout du doigt . Vos tentez alors de l'attrapé avec vos grosses mains, comme pour l'accroché , le raccroché a vous même . Ce n'est qu'une vision , mais déjà elle vous pose des problèmes et vous savez qu'elle va changer votre vie, tout du moins inconsciement . Vous commencez alors a prendre conscience de ce que cette chose a d'important, et alors en vous tout commence a bouillir . Ca vient d'en bas, ce sont des émotions enfouit en vous depuis des années, peut être emprisonné , peut être même ce qui cause votre neurasthénie depuis plus de 15 ans ... Et c'est ça, qui doucement commence a se reveiller, pour mieu offrir une jolie révolution a votre intérieur personnel . C'est quelque chose qu'on ne peut pas décrire avec des simples mots . Et quand vos yeux finisse leur boulot , que vous comprennez ce que vous devez comprendre, c'est quelques chose d'immuable qui remonte en vous a une vitesse indéfinissable .

En vous , ca remonte , ca explose dans votre coeur et vous sentez l'émotion , les sentiments refoulés ... Tout ça , c'est une magie incroyable, une symbiose . Comme si l'avant l'après faisait un nouveau couple, votre conscience ce liant a votre inconscient , et puis quand vous prennez justement consience , ca vous tombe dessus , et la c'est bien plus de magie que ne pouvait en faire Dumbledore ... C'est la magie humaine la plus sublime et la plus fabuleuse . C'est retrouvé votre fille perdu . Beladrion commenca d'abord par la regarder dans les yeux, et quand elle lui demanda si il la connaissait , il ne lui répondit pas . Les seules choses qui semblait bien vouloir sortir de lui était des sentiments . Il lui fallut encore quelques secondes pour se sentir prêt a affronter la réalitée, la vérité . Finalement il lui dit d'une voix plutôt fébril déformé par l'émotion , d'une voix qu'il aurait aimer employer depuis 17 ans :

Allyson Kheldar ... Tu as perdu tes parents ... Et je suis ton père .

Il sortit alors sa baguette et la toucha avec le bout de sa baguette . Il sentit une vague formidable de magie : La magie le plus puissante jamais employer, comme il l'avait étè prouver de nombreuses fois déjà . C'était l'immuable magie de l'amour . Il reprit constence pour ne pas l'affoler , et tandis qu'elle le regardait, complétement perdu , il laissa les mots se faufilé dans son esprit puis sur le bord de ses lèvres avant de prononcé :

Adectum Veritas ...

Et la suite fut .

Allyson en attendant une réponse de la part du ministre de la magie, se posait pleins de questions, qui n'avaient pas de réponses. La jeune femme se demandait comment il la connaissait, qui était-il en réalité. Elle avait l'impression que toute sa vie, on lui avait cachée des choses. La jeune sorcière repensa qu'elle ne ressemblait pas à sa sœur, ni à son père. Quand à sa mère, elle n'avait que la couleur des yeux qui était identique. La jeune gryffondor secoua un peu la tête et reporta son attention sue le ministre qui était en face d'elle. Pour le moment, il ne disait rien et était toujours immobile en la regardant. Puis, au bout de plusieurs secondes, voir plusieurs minutes, il pris la parole. Dans sa voix, Allyson reconnue de l'émotion. Ensuite, lors de ses paroles, la jeune sorcière écarquilla les yeux et avait la bouche un peu ouverte du au choc de la nouvelle qu'elle venait d'entendre.

-Quoi

Allyson était perdue et avait du mal à analysée la situation. Comment ça, elle s'appelait Allyson Kheldar et pas Allyson Andrews. La jeune femme se demandait ce qui se passait quand elle le vit sortir sa baguette et qu'elle lui toucha la tête. La jeune femme était de plus en plus perdue. Et quand elle entendit la formule qui prononça, ses yeux devenaient encore plus écarquillées. Puis, elle eu un regard vide et vit des choses dans son esprit. Des choses donc elle ne se rappelait pas, des souvenirs qui étaient enfouis au plus profond d'elle.

Début du flash-back

La jeune gryffondor vit alors une belle femme dans les vingt ans assise dans un lit entrain de tenir un bébé dans ses bras en souriant et en chantant une petite mélodie. Puis, une autre personne arriva dans la pièce, s'asseya sur le bord du lit et regarda la femme et le bébé.

-Bonjour petite Allyson

Cet personne était le ministre de la magie, avec quelques années en moins. Puis, le jeune homme la pris dans ses bras, se releva du lit et marcha un peu jusqu'à la fenêtre en regardant sa fille qui le fixait avec ses yeux bleus. Ensuite, quelques minutes plus tard, il lui fit la tâche de naissance sur elle.

Fin du flash-back

Des larmes coulèrent sur le visage d'Allyson. La jeune femme releva un peu la tête et posa son regard sur la personne qui était en face d'elle.

-Papa

Allyson n'en revenait pas. Les Andrews n'étaient pas sa vrai famille et ils ne lui avaient jamais rien dit. Pourquoi, elle n'avait pas été élevée par sa vrai famille. Elle pleurait de plus en plus.

-Tu es vraiment mon père ? Mon vrai père ?